Fuelling The Movement
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Terre ! Terre !

Au sein de Mover, mettre ses émotions de côté n’est pas à l’ordre du jour. Que ce soit l’émerveillement d’un nouveau tissu ou l’espoir que chaque vêtement plante une graine, nous sommes en première ligne, et tout nous impacte. Le bon comme le moins bon. La frustration de voir notre industrie s’acharner sur les fausses solutions. Et parfois aussi, nous ressentons la solitude d’une bouteille à la mer. Chargée d’une mission pressante dans un océan immense. Mais tout finit par toucher terre et nous ne faisons pas exception. 
Cette année, les vagues nous ont portés à PlasticFree Land. Un espace où Sîan Sutherland et Frede Magnussen se jouent des règles. Où, à la place des discours bien-pensants et des scénarios, elles invitent à regarder, à toucher et à ressentir. Des matériaux qui défient nos sens, comme les bouteilles en fibres compactées de NBCo, ou les flacons à pipettes de SHELLWORKS, qui combinent plusieurs textures en une seule matière. Les couleurs vertigineuses de SPARXELL qu’on ne trouve que sur la carapace d’un scarabée ou dans le plumage d’un colibri, obtenues en retravaillant les cristaux de cellulose. Les baskets de PURIFIED FOOTWEAR, qui combinent les matériaux sans plastique les plus innovants, de la semelle aux lacets. Et nos amis de BANANATEX qui placent la Suisse sur la carte des textiles vraiment circulaires. Chaque marque 100% sans plastique et prête à grandir. 
A gauche : NBCo, au centre : Mover, à droite : Purified Footwear
A gauche : NBCo, au centre : Mover, à droite : Purified Footwear

Dans cet éclectisme, PlasticFree Land a des airs de repas de famille. Un tronc commun nous réunit, celui de se tourner vers la nature pour créer des solutions, et la détermination de prouver que, non, il ne s’agit pas d’un rêve mais d’un plan d’action bien réel. Nous y catalysons l’énergie nécessaire à transformer nos îles sans plastique en continents.
Créer sans plastique nous expose en continu à un risque d’enchantement. Rien ne nous touche plus que de constater les prouesses techniques qui se produisent quand nous collaborons avec la nature. Et si notre attitude n’est pas professionnelle, nous en réclamons aussi l’impatience. A quoi bon attendre pour imaginer un monde après le plastique quand il se construit en ce moment même ?


PS: Siân a un message pour vous, faites sa connaissance !

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