Depuis 50 ans, nous pratiquons nos sports habillés de plastique. Pourquoi ?
Et pourtant, c’est le standard qu’on nous donne pour mesurer le confort, et la performance. Les effets se montrent partout. Nous nous sentons isolés, parfois même seuls au monde. Blasés. Ce qui se passe en nous reflète ce qui arrive à la planète. Nous avons cru au plastique, et il est en train de nous étouffer. Mais ce n’est pas une fatalité, et tout est déjà là pour nous aider à aller de l’avant.
C’est très simple. Il suffit de se débarrasser des matières plastiques qui nous collent à la peau et qui émoussent nos sens.
Les tissus techniques en fibres naturelles ont cette particularité rare. Ils sont si différents de ce dont nous avons l’habitude, qu’ils transforment entièrement notre expérience du sport, jusque dans notre manière de bouger.
Les chuintements cessent, et un contact doux, sûr, s’établit sur la peau.
Un éveil silencieux. Une certitude qui vient du ventre. Subtile mais si radicale qu’il nous est impossible de revenir à ce que nous portions avant.
Soudain, tout change. Imaginez-vous sortir après une averse. La chaleur de votre corps en mouvement qui rencontre l’air neuf. L’odeur de la chlorophylle. Tout est plus intense.
Et durant une ascension difficile, la sueur fraîche qu’on sent sans prendre froid, traverser nos couches pour rejoindre un cycle bien plus grand. Quelques gouttes qui s’évaporent, intègrent un nuage et iront pleuvoir, raviver, nourrir. C’est là qu’on réalise l’ampleur de notre connexion au monde qui nous entoure. Que nous ne visitons pas la nature, mais que - à nouveau intégrés - nous y participons.
Sortir du sac et bouger à contre-courant n’est pas une mince affaire. Mais on peut le faire avec confort, chaleur et assurance. C’est la raison d’être de Mover.