Why did we hike in plastic bags for the last 50 years?
Why did we hike in plastic bags for the last 50 years?

Depuis 50 ans, nous pratiquons nos sports habillés de plastique. Pourquoi ?

Nous aimons la nature, et nous aimons nous y perdre, la retrouver et la sentir proche. Les déchets plastiques jetés à tout va nous révoltent, et pourtant, nous ne savons pas forcément que ces mêmes matériaux constituent nos vêtements d’outdoor, ni que les produits chimiques qu’ils contiennent se dispersent autour de nous à chaque pas. Pourtant le frottement chuintant d’une membrane, d’un t-shirt ou d’un pantalon synthétiques devrait nous avertir d’un problème. Car ce bruit étouffe quelque chose de très important. Faire du sport dans du plastique n’est de loin pas la meilleure expérience à vivre. Dans ces vêtements techniques, rien n’entre ni ne sort. Pas l’oxygène dont nous avons besoin, pas la vapeur d’eau que nous émettons. C’est le fait même d’échanger qu’on empêche. Plutôt étrange non ? Et pourtant, c’est le standard qu’on nous donne pour mesurer le confort, et la performance. Les effets se montrent partout. Nous nous sentons isolés, parfois même seuls au monde. Blasés. Ce qui se passe en nous reflète ce qui arrive à la planète. Nous avons cru au plastique, et il est en train de nous étouffer. Mais ce n’est pas une fatalité, et tout est déjà là pour nous aider à aller de l’avant.

C’est très simple. Il suffit de se débarrasser des matières plastiques qui nous collent à la peau et qui émoussent nos sens.


Les tissus techniques en fibres naturelles ont cette particularité rare. Ils sont si différents de ce dont nous avons l’habitude, qu’ils transforment entièrement notre expérience du sport, jusque dans notre manière de bouger. 

Les chuintements cessent, et un contact doux, sûr, s’établit sur la peau. 

Un éveil silencieux. Une certitude qui vient du ventre. Subtile mais si radicale qu’il nous est impossible de revenir à ce que nous portions avant. 

Soudain, tout change. Imaginez-vous sortir après une averse. La chaleur de votre corps en mouvement qui rencontre l’air neuf. L’odeur de la chlorophylle. Tout est plus intense.

Et durant une ascension difficile, la sueur fraîche qu’on sent sans prendre froid, traverser nos couches pour rejoindre un cycle bien plus grand. Quelques gouttes qui s’évaporent, intègrent un nuage et iront pleuvoir, raviver, nourrir. C’est là qu’on réalise l’ampleur de notre connexion au monde qui nous entoure. Que nous ne visitons pas la nature, mais que - à nouveau intégrés - nous y participons.


Sortir du sac et bouger à contre-courant n’est pas une mince affaire. Mais on peut le faire avec confort, chaleur et assurance. C’est la raison d’être de Mover.



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